Le blog de Steeve amateur de photos, sexualité
Le monde BDSM..... Un jeu ? Un art de vivre ?
L'aspect insolite du monde BDSM suscite selon les tendances une envie de découverte, une envie d'interdit, une envie de jeu, une envie de vivre.
Pour moi, il n'y a jamais eu de confusion dans mon esprit ni même la moindre idée de jeu !
La beauté de la relation "Domination/Soumission" réside pour moi dans l'art de vivre sans autre alternative.
L'idée de jeu abaisse bien bas le mérite des vraies soumises ayant acquis des valeurs et vient effilocher ce que représente la toile tissée entre Maitre et soumise dans une vraie relation BDSM.
Comment peut on parler de jeu BDSM....!!
"Le jeu BDSM" est souvent usité dans le milieu libertin par variantes et pour sortir de la routine aussi....... sans connaissance ni vraie envie de côtoyer le monde BDSM qui finalement peut faire peur.
On joue car jouer n'est pas un engagement, c'est juste une partie !
Ces personnes effleurent les pratiques pensant vivre un moment BDSM pour certaines.
Alors, respect aux joueurs mais je ne souhaite pas être invité dans la cour de récréation !
Le mot "Jeu" est pour moi à bannir dans le vocabulaire BDSM et c'est déjà un indice majeur lors d'un dialogue avec une personne voulant aborder une "vraie relation D/S".
Je peux comprendre le manque de connaissance de certaines libertines qui pensent connaitre ce milieu mais sachez que le milieu libertin est loin du monde BDSM.
Je précise que certaines pratiques sexuelles peuvent être pratiquées aussi bien dans le jeu libertin que dans le milieu BDSM mais la finalité, l'intérêt n'est pas le même.
L'absence de jeu, selon mon concept, n'empêche en rien l'ouverture à des pratiques sexuelles sans tabous et poussées mais sont plus axées dans la recherche d'une évolution réciproque.
Cette notion d'évolution de l'un à l'autre dans la relation D/S peut faire "sauter" des barrières bien plus que le jeu qui est aussi soumis à des règles plus étroites à mon avis.
Après cette parenthèse nécessaire pour clarifier les idées reçues, le vécu, et éviter l'amalgame entre le monde BDSM et le milieu libertin, mon concept est le suivant :
Première règle :
La première règle avant d’aborder l’éventualité d'une relation D/S est de bannir le jeu.
On joue et on reste libertin ou on adhère aux principes et règles BDSM.
Les deux choix sont respectables mais il faut choisir entre le jeu et un art de vivre pour pouvoir s'accomplir dans le vrai.
Deuxième règle :
La domination/Soumission n'est pas que sexuelle (contrairement au jeu libertin).
L'art de vivre d'une relation D/S implique forcement une amplitude quotidienne, sinon ce ne serait que du jeu !!
Un contrat stipule des moments réservés aux tâches familiales, professionnelles et hormis ces deux critères, la relation se vit pendant le reste du temps (jour et nuit).
Le Maitre doit toujours être en lien avec sa soumise (sauf obligations familiales et professionnelles aussi) et sa soumise se doit d'être à la disposition de son Maître pour tout son temps libre.
Le sexe n'est donc qu'une facette de la relation D/S dans un art de vivre.
Le fondement d'une vie de couple, BDSM ou pas, n'est-il pas l'évolution de l'autre ?
Les deux paramètres, cérébraux et sexuels font parti de ce fondement à mon sens et le jeu ne vient que camoufler la réalité d'une divergence d'esprit entre les partenaires.
Sexe et cérébralité devraient pour moi fusionner dans une recherche d'évolution et le sexe ne devrait pas être un jeu pour voiler la réalité d'une absence de symbiose mais plutôt pour assouvir les besoins de l'autre.
Pourquoi cette connotation de jeu dans certain milieu où dans le fonctionnent de certains couples ?
Tout simplement par irresponsabilité vis à vis d'une éventuelle suite défavorable ou de mésentente sur les objectifs. Le jeu n'est qu'un jeu, sexuel ou pas.
Dans le jeu, rien n'est sérieux et s'il y a dérapage l'intégralité du couple n'est pas forcement remis en question puisque c'est un jeu.
Dans le milieu BDSM, l'art de vivre met aussi en jeu l'intégralité de la relation.
Nous vivons dans un monde ou l'engagement fait peur, le risque fait peur et dans lequel le jeu (associé cérébralement au gain) sexuel séduit également par la légèreté de l'engagement.
Le jeu a pris naturellement toute sa place dans le sexe puisque les médias le proposent via les sites de rencontres où le divertissement sexuel attire pour compenser la vie morose des individus ne voulant surtout pas faire écrouler la pyramide du couple fragilisé déjà par une vie sociale souvent fragile, précaire et dans certains cas où l'intérêt social du couple prime.
S'évader un peu dans le sexe sans rien détruire, pourquoi pas....selon ce concept.
Démarche peu courageuse à mon sens mais qui trouve son intérêt dans notre vie actuelle. .
Cette démarche nous fait perdre tout notion de réalisme des buts et fondements des couples tant dans la façon de vivre que dans les objectifs et la finalité.
Je bannis donc le jeu sexuel tel que je le décris.
Dans le milieu BDSM, la notion de couple dans toutes ses facettes (vie sociale, aspect cérébral, vie sexuelle) ne reprend pas les mêmes objectifs égocentriques et valeurs fondamentales à un vrai épanouissement ensemble.
Tout est sérieux et pondéré, rien n'est jeu et intérêt personnel.
Peut être qu'un jour, l'être adulte grandira et trouvera une façon non ludique d'affronter les vraies raisons de notre existence terrestre.
Steeve.
L'aspect insolite du monde BDSM suscite selon les tendances une envie de découverte, une envie d'interdit, une envie de jeu, une envie de vivre.
Pour moi, il n'y a jamais eu de confusion dans mon esprit ni même la moindre idée de jeu !
La beauté de la relation "Domination/Soumission" réside pour moi dans l'art de vivre sans autre alternative.
L'idée de jeu abaisse bien bas le mérite des vraies soumises ayant acquis des valeurs et vient effilocher ce que représente la toile tissée entre Maitre et soumise dans une vraie relation BDSM.
Comment peut on parler de jeu BDSM....!!
"Le jeu BDSM" est souvent usité dans le milieu libertin par variantes et pour sortir de la routine aussi....... sans connaissance ni vraie envie de côtoyer le monde BDSM qui finalement peut faire peur.
On joue car jouer n'est pas un engagement, c'est juste une partie !
Ces personnes effleurent les pratiques pensant vivre un moment BDSM pour certaines.
Alors, respect aux joueurs mais je ne souhaite pas être invité dans la cour de récréation !
Le mot "Jeu" est pour moi à bannir dans le vocabulaire BDSM et c'est déjà un indice majeur lors d'un dialogue avec une personne voulant aborder une "vraie relation D/S".
Je peux comprendre le manque de connaissance de certaines libertines qui pensent connaitre ce milieu mais sachez que le milieu libertin est loin du monde BDSM.
Je précise que certaines pratiques sexuelles peuvent être pratiquées aussi bien dans le jeu libertin que dans le milieu BDSM mais la finalité, l'intérêt n'est pas le même.
L'absence de jeu, selon mon concept, n'empêche en rien l'ouverture à des pratiques sexuelles sans tabous et poussées mais sont plus axées dans la recherche d'une évolution réciproque.
Cette notion d'évolution de l'un à l'autre dans la relation D/S peut faire "sauter" des barrières bien plus que le jeu qui est aussi soumis à des règles plus étroites à mon avis.
Après cette parenthèse nécessaire pour clarifier les idées reçues, le vécu, et éviter l'amalgame entre le monde BDSM et le milieu libertin, mon concept est le suivant :
Première règle :
La première règle avant d’aborder l’éventualité d'une relation D/S est de bannir le jeu.
On joue et on reste libertin ou on adhère aux principes et règles BDSM.
Les deux choix sont respectables mais il faut choisir entre le jeu et un art de vivre pour pouvoir s'accomplir dans le vrai.
Deuxième règle :
La domination/Soumission n'est pas que sexuelle (contrairement au jeu libertin).
L'art de vivre d'une relation D/S implique forcement une amplitude quotidienne, sinon ce ne serait que du jeu !!
Un contrat stipule des moments réservés aux tâches familiales, professionnelles et hormis ces deux critères, la relation se vit pendant le reste du temps (jour et nuit).
Le Maitre doit toujours être en lien avec sa soumise (sauf obligations familiales et professionnelles aussi) et sa soumise se doit d'être à la disposition de son Maître pour tout son temps libre.
Le sexe n'est donc qu'une facette de la relation D/S dans un art de vivre.
Le fondement d'une vie de couple, BDSM ou pas, n'est-il pas l'évolution de l'autre ?
Les deux paramètres, cérébraux et sexuels font parti de ce fondement à mon sens et le jeu ne vient que camoufler la réalité d'une divergence d'esprit entre les partenaires.
Sexe et cérébralité devraient pour moi fusionner dans une recherche d'évolution et le sexe ne devrait pas être un jeu pour voiler la réalité d'une absence de symbiose mais plutôt pour assouvir les besoins de l'autre.
Pourquoi cette connotation de jeu dans certain milieu où dans le fonctionnent de certains couples ?
Tout simplement par irresponsabilité vis à vis d'une éventuelle suite défavorable ou de mésentente sur les objectifs. Le jeu n'est qu'un jeu, sexuel ou pas.
Dans le jeu, rien n'est sérieux et s'il y a dérapage l'intégralité du couple n'est pas forcement remis en question puisque c'est un jeu.
Dans le milieu BDSM, l'art de vivre met aussi en jeu l'intégralité de la relation.
Nous vivons dans un monde ou l'engagement fait peur, le risque fait peur et dans lequel le jeu (associé cérébralement au gain) sexuel séduit également par la légèreté de l'engagement.
Le jeu a pris naturellement toute sa place dans le sexe puisque les médias le proposent via les sites de rencontres où le divertissement sexuel attire pour compenser la vie morose des individus ne voulant surtout pas faire écrouler la pyramide du couple fragilisé déjà par une vie sociale souvent fragile, précaire et dans certains cas où l'intérêt social du couple prime.
S'évader un peu dans le sexe sans rien détruire, pourquoi pas....selon ce concept.
Démarche peu courageuse à mon sens mais qui trouve son intérêt dans notre vie actuelle. .
Cette démarche nous fait perdre tout notion de réalisme des buts et fondements des couples tant dans la façon de vivre que dans les objectifs et la finalité.
Je bannis donc le jeu sexuel tel que je le décris.
Dans le milieu BDSM, la notion de couple dans toutes ses facettes (vie sociale, aspect cérébral, vie sexuelle) ne reprend pas les mêmes objectifs égocentriques et valeurs fondamentales à un vrai épanouissement ensemble.
Tout est sérieux et pondéré, rien n'est jeu et intérêt personnel.
Peut être qu'un jour, l'être adulte grandira et trouvera une façon non ludique d'affronter les vraies raisons de notre existence terrestre.
Steeve.
Ven 9 nov 2012
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