J'enregistre parmi mes contacts quelques prétendantes qui pensent être......."soumise dans l'âme".

Pour savoir si vous êtes une soumise dans l'âme comme beaucoup le prétendent, c'est très simple...
Sachez qu'une "vraie" soumise" pense aux plaisirs de son Maitre une fois son statut familial et social assumés (sans tricher par rapport au respect que lui accorde son Maitre en relation avec la famille).
Une soumise digne de ce nom, s'oriente et focalise ses pensées et accorde le restant de son temps vers son Maitre en priorité.

Cela veut dire que les réseaux sociaux, les autres relations, loisirs passent après la communication, les pensées envers  son Maitre avec le devoir de le sentir serein aussi.

Cela ne veut pas dire ne plus avoir de loisirs ou amis mais si vous n'êtes pas capable de connaitre et estimer les besoins du Maitre en demandant tout simplement aussi, vous n'êtes pas une soumise dans l'âme.

Une soumise comme un Maitre ont des devoirs....
Ceux du Maitre est de s'assurer que sa soumise progresse sereinement dans une relation choisie.
Il fait passer aussi ses relations amicales après s'être assuré du bien être moral et physique de sa Kajira.
Ceux d'une soumise est de s'assurer que son Maitre est toujours comblé.
Un "contrat moral de soumission" en stipule les modalités.

Le très gros problèmes de la plupart des femmes "pseudo soumises" est qu'elles ne savent pas communiquer et manquent très souvent de respect dans ce domaine.
Celles-ci sont donc très facilement repérables pour moi. 
Toutes les excuses sont bonnes....mais je les connais toutes aussi !

Vous êtes soumise dans l'âme ou pas très sûre de vous finalement et de ce que vous êtes ?
La communication assidue est une forme de respect envers son Maitre, sachez le !

Je ne supporte pas les gens qui se cachent...C'est louche !

Le monde BDSM vous attire...Pour quelle raison ?

La plupart des prétendantes à ce mode de vie ne sont en réalité que de "pseudo soumises" qui ne recherchent en l'homme dominant qu'une protection physique, cérébrale rassurante et qui pensent avoir vécu une relation D/S en ayant comme expérience uniquement une domination sexuelle à leur goût avec un libertin déguisé en "maitre".

La majorité de ces femmes ne sont que des libertines qui recherchent en leur partenaire une déculpabilisation de leur profonde personnalité.
Je m'explique...
Se faire amener dans un club libertin pour simplement "échanger" et changer de partenanire pour une soirée est déculpabilisant par rapport à l'image que l'on veut se faire paraitre et ne pas "se salir".
L'égo n'est pas sali...c'est le dominant qui emmène sa compagne copuler avec d'autres personnes. Elle n'est responsable de rien...et a toute sa conscience "propre".
La "pseudo soumise" libertine sort du club "propre" dans son égo qu'elle tient à préserver, nourrir (d'où la notion de "pseudo soumise").

A l'inverse, une "vraie" soumise s'assume dans sa personnalité, lâche et confie son égo à son Maitre et si elle participe à une soirée BDSM avec d'autres personnes du milieu, c'est parce qu'elle accepte sa personnalité de chienne dépravée, libérée de son égo par le travail de son Maitre. Elle est libre....et ne triche pas avec sa personnalité. Elle est vouée aux besoins de son Maitre en s'accomplissant et consciente, responsable de ses actes qu'elle assume avec son statut.

Concernant le physique et la sexualité, c'est idem. Sans désir profond d'accepter de changer, vous êtes bloquées dans votre égo.

Si vous souhaitez conserver votre égo intact et toujours dans la même spirale de recherche à la fois de satisfaction personnelle, d'insatisfaction profonde et non d'un lâcher prise, vous n'êtes pas "soumise dans l'âme". 

Vous avez compris que, c'est un désir de "lâcher prise" global de votre égo qui détermine si vous êtes dans une recherche profonde de relation D/S et soumise dans l'âme et une "vraie" soumise fait passer les plaisirs de son Maitre avant les siens.

Une soumise ne devrait pas attendre d'être offerte pour s'épanouir dans sa personnalité, c'est le Maitre qui estime à quel moment, si nécessaire, des rencontres avec d'autres personnes du milieu BDSM peuvent être épanouissantes.

Sinon, posez vous la question de savoir si vous vous déguisez en soumise pour finalement libertiner sous escorte et dont le seul but est d'être offerte ou si vous êtes en quête d'une "vraie" relation D/S.

Si vous n'adhérez pas à ces pensées, merci de ne pas me contacter et se faire croire...

Si vous n'êtes pas capable de communiquer autrement que par mail sur un site, cherchez une autre personne. 

Je ne me déguise pas, ne vous déguisez pas non plus !    

Maitre Steeve.   

SM corporel pour stimuler....., SM sexuel pour élever......

Par définition, pour le SM, il faut un sadique et un maso.

Les deux parties doivent y prendre du plaisir pour un échange constructif et d'évolution vers d'autres plaisirs et découvertes.

Deux notions sont à considérer pour le Maître et sa soumise :

Il y a t'il envie ou besoin ?
Dans les deux cas, il y a t'il plaisir pour l'un et l'autre.

Une séance est considérée évolutive et réussie lorsque les deux partenaires sont comblés et ce peut être dans l'envie pour l'un et le besoin pour l'autre sachant comme écrit dans un précédent article que l'on peut passer de l'envie au besoin, ce que je considère comme une évolution.

Définition de l'envie :

L’envie désigne un désir dont le sujet ne connaît pas toujours l’origine. L’envie est alors un réflexe dont la part d’inné et d’acquis est bien difficile à établir. Pour certains, l’envie est le propre de l’humain et serait l’un des moteurs de son évolution.
L’envie peut être également définie comme la volonté de posséder sans nécessité et s’oppose alors au besoin. Ainsi, la volonté d’obtenir une même chose pourra être désignée comme envie ou besoin en fonction de l’idée que l’observateur se fait de la nécessité de posséder la chose pour la personne qui exprime cette volonté. Par exemple, la volonté de manger pour une personne qui a « vraiment » faim sera généralement considérée comme un besoin, alors qu’il s’agit d’une envie dans le cas contraire.

Définition du besoin  :

Les besoins se situent à la jonction entre le biologique et le culturel, entre le corps et l'esprit.

1. Les besoins fondamentaux, également appelés besoins élémentaires, nécessaires ou encore physiologiques, sont les besoins indispensables au système "humain" en tant qu’élément de base vivant dans un environnement défini : l'individu doit pouvoir se protéger des éléments qui mettent en péril son intégrité personnelle et son fonctionnement de base : Se loger, s'habiller, assurer sa sécurité physique, se nourrir (air, eau, aliments), se reproduire, assumer ses processus de régulation interne (phéromones, hormones, influx nerveux...), se mouvoir, maintenir les caractéristiques de son environnement direct dans le cadre d'un horizon prévisionnel suffisant, disposer d'une capacité de sauvegarde ou d'amélioration de son état de santé, d'avoir des contacts sociaux réels plutôt que fictifs (dans l'isolement total des phénomènes de dédoublement de personnalité peuvent survenir).

2. Les besoins primaires sont des besoins légitimes mais qui se distinguent des précédents dans la mesure où leur satisfaction ne présente pas le même caractère d'urgence « vitale ». Leur satisfaction -bien que moins urgente- présente un caractère nécessaire ou à tout le moins hautement souhaitable pour les personnes concernées. Ainsi, le besoin d'éducation ou de formation pourrait représenter cette catégorie : l'absence d'éducation n'empêche pas de survivre, mais demeure l'un des besoins dont la nécessité n'est pas contestable dès que l'assurance de la survie d'une personne est acquise. La définition et l'expression des besoins primaires dépendent directement de la personne elle-même, ainsi que de la situation concrète, du temps et de l'environnement où elle se trouve.

3. Les besoins secondaires recouvrent les besoins légitimes qui permettent aux personnes de se réaliser humainement, voire idéalement de se surpasser. Comme le dit Carl Jung, il s'agit que chaque personne « puisse faire de sa vie un destin ». Ce type de besoin n'est pas une urgence vitale (besoin fondamental), ni une priorité nécessaire (besoin primaire), mais relève de la volonté de la personne de trouver un sens et de réaliser et/ou d'achever sa vie en conformité à sa volonté, à son projet ou sa vocation.

Les deux premiers besoins étant heureusement très souvent réalisés, pour moi, le besoin en D/s revient à dimensionner les besoins secondaires pour se réaliser pleinement en accord avec son inconscient, donc sa "vraie" personnalité.

Pour en revenir au SM corporel, pour moi, il relève plutôt de l'envie car j'ai plaisir à le faire et aime la demande et la satisfaction de ma partenaire.

Pour ce qui est du SM sexuel, pour moi, il relève plutôt du besoin par goût et besoins secondaires liés au plaisr de voir une femme s'assumer pleinement dans sa découverte sexuelle.

Mon SM sexuel.....pour mon plaisir car j'aime les sexes arrogants, exhibés, pour votre plaisir aussi....si j'en crois les témoignages de soumises.
Elles ont trouvé dans ces pratiques, découvertes cérébrales par un lâcher prise et sensitives en réveillant leur sensibilité corporelle par des pratiques régulières.

Pinces, étirements, pompe, ustensiles pour réveiller des zones jamais stimulées et redonner une autre dimension à leur chair et leur esprit tout cela dans un fond d'exhibition et de fierté pour offrir...

Pose de la pompe....

Résulat....

Maître Steeve.